mercredi, juin 26, 2024

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« Je pense collectif avant moi », Giroud répond à Thuram

Convié devant les médias ce
vendredi, Olivier Giroud a été invité à répondre à Marcus Thuram,
qui a récemment confié se sentir prêt à être le nouveau numéro 9
des Bleus.

A trois jours de l’entrée en lice de l’équipe de France à l’Euro
2024 en Allemagne, Olivier Giroud s’est présenté devant la presse.
Promis un rôle de doublure, le Savoyard a assuré qu’il restait
combatif et entendait bien tout donner lorsque Didier Deschamps
fera appel à lui. L’attaquant de 37 ans a aussi été invité à réagir
aux déclarations de Marcus Thuram, qui s’est dit prêt à être le
nouveau numéro 9 des Bleus.

« Bien sûr, je me sens prêt à être le numéro neuf de
l’équipe de France, mais je ne vais pas dire que je suis le
successeur de Giroud
, a récemment déclaré le fils de Lilian.
J’ai signé à l’Inter l’été dernier pour entrer dans une
nouvelle dimension et ouvrir un nouveau chapitre. J’ai pris des
responsabilités cette saison et je me sens prêt à être le numéro 9
français. »

Giroud sur Thuram: « Aucun esprit de compétition entre
nous »

Et Giroud de revenir sur ces propos tenus par Thuram: «
C’est un peu l’histoire de ma carrière à certaines périodes. Ce ne
serait pas raisonnable de résumer ma carrière à ça, mais les
périodes où j’ai été dos au mur, j’ai toujours réussi à rebondir.
Le plus important, c’est de rester dans le bon état d’esprit. Mon
état d’esprit resté inchangé, l’envie d’apporter quelque chose à
cette équipe avec ce que le coach me donnera. Je pense collectif
avant moi. Quel que soit mon rôle, j’espère donner le maximum et
profiter de chaque instant parce que ce sera ma dernière
compétition. »

« C’est un Interiste, donc pas facile pour moi (rires)
! C’est un petit frère,
a ajouté Giroud. Je me souviens
que j’avais parlé à Lilian, qui avait eu des mots sympas à mon
égard. J’ai ce respect mutuel envers lui et Marcus, qui est l’un
des joueurs qui prendra le relais devant. Je suis là pour
l’accompagner. Aucun esprit de compétition entre nous. Que du
bonheur de l’aider. Il faut passer le flambeau. »

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