Au Togo ou comme partout ailleurs, la prostitution est longtemps considérée comme le métier le plus vieux au monde.
Et si dernièrement ce « job » est plus ou moins camouflé et se fait désormais appelé bizi, ça ne change rien au statut des adeptes de telles pratiques.
En effet, elles sont nombreuses, ces filles qui échangent leurs corps contre quelques billets de banque pour des raisons diverses.
Mais que peut-il bien motiver ces filles à prendre ce chemin de dernier recours ?
Depuis quelques heures, un live organisé sur TikTok a permis à quelques internautes d’avoir une petite idée sur la motivation des bizi girls.
Selon une jeune fille qui s’identifie comme une ex-géreuse de bizi, si elle a eu à facturer ses heures de jambes en l’air, c’est parce qu’elle n’arrivait plus à joindre les deux bouts.
Laissée à elle-même, alors qu’elle était encore sur les bancs et qu’elle avait un examen à passer, elle finit par rejoindre un réseau de « prostitution », par le biais d’une de ses connaissances.
Dans ses révélations, la jeune femme a assuré qu’il lui était arrivé de se faire frapper et brutaliser par un client qui a d’ailleurs refusé de lui payer à la fin.
Cependant, pour l’ex-bizi girl en question, cette pratique ne présente pas que les points négatifs.
Car pour elle, elle avait eu l’opportunité de toucher de grosses sommes en traitant avec des personnes hautement placées dans son pays, comme vous pouvez le suivre ici.
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Et si dernièrement ce « job » est plus ou moins camouflé et se fait désormais appelé bizi, ça ne change rien au statut des adeptes de telles pratiques.
En effet, elles sont nombreuses, ces filles qui échangent leurs corps contre quelques billets de banque pour des raisons diverses.
Mais que peut-il bien motiver ces filles à prendre ce chemin de dernier recours ?
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Selon une jeune fille qui s’identifie comme une ex-géreuse de bizi, si elle a eu à facturer ses heures de jambes en l’air, c’est parce qu’elle n’arrivait plus à joindre les deux bouts.
Laissée à elle-même, alors qu’elle était encore sur les bancs et qu’elle avait un examen à passer, elle finit par rejoindre un réseau de « prostitution », par le biais d’une de ses connaissances.
Dans ses révélations, la jeune femme a assuré qu’il lui était arrivé de se faire frapper et brutaliser par un client qui a d’ailleurs refusé de lui payer à la fin.
Cependant, pour l’ex-bizi girl en question, cette pratique ne présente pas que les points négatifs.
Car pour elle, elle avait eu l’opportunité de toucher de grosses sommes en traitant avec des personnes hautement placées dans son pays, comme vous pouvez le suivre ici.
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