samedi, septembre 28, 2024

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Dugarry lâche son premier amour pour son potager

Alors que son club de cœur,
Bordeaux, est en grandes difficultés, Christophe Dugarry n’imagine
pas s’y investir, entendant profiter dans sa nouvelle
vie.

Les supporters bordelais ont repris
confiance. Alors que les Girondins semblaient au bord du gouffre,
conséquence des graves difficultés financières du club au
scapulaire, Gérard Lopez aurait trouvé un fonds américain prêt à
investir quelque 50 millions d’euros pour assainir la situation
financière. Pour autant, Bordeaux, seulement 12e de Ligue 2 cette
saison, est en souffrance, à des années lumières de son lustre
passé.

Natif de Bordeaux et formé au club, Christophe Dugarry ne cache
pas son inquiétude quant à la situation de son club de cœur.
« Ce club, qui a 140 ans, est
très malade, mais il ne mourra pas. Je pense que les gens veulent
une histoire, des émotions. Pour connaître ça, on n’est pas obligé
de jouer la Ligue des champions toutes les semaines. Peut-être que
l’on descendra en CFA ou je ne sais où et que l’ont mettre quinze
ans à remonter. Mais je préfère ça à la vraie purge vécue ces cinq
dernières années »,
a-t-il encore confié à Télé 7
jours.

« Je vis une grande partie de l’année à
Marrakech »

En dépit de la situation des Girondins, Christophe Dugarry ne
s’imagine pas consacrer du temps et de l’énergie auprès du club
dans un quelconque rôle, trop heureux de sa vie sans contrainte.
« Pour autant, je ne
m’investirai pas. Je vis une grande partie de l’année à Marrakech,
au soleil. Je joue au golf, je m’occupe de ma famille – j’ai quatre
enfants dont deux petits, de 3 et 1 an -, de mon potager bio, je
fais mon huile d’olive. Ma vie est magnifique, apaisée et
apaisante »,
a-t-il soufflé.

Le champion du monde 1998 a également souligné
son décalage avec la nouvelle génération pour expliquer son refus
de s’investir à Bordeaux. « Je n’ai pas envie, chaque
matin, de m’attarder avec des joueurs ne parlant pas le même
langage que moi. chaque génération a ses codes, moi je ne les ai
pas »
, a-t-il lancé, pas convaincu des nouvelles mœurs en
pratique.

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