lundi, septembre 16, 2024

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Nasser Al-Khelaifi, la sextape et les photos compromettantes avec sa maîtresse refont surface

L’enquête sur les soupçons de
« barbouzeries » au PSG a valu à Nasser Al-Khelaïfi
d’être entendu en qualité de victime par la justice au printemps et
de devoir évoquer un chantage aux photos compromettantes avec sa
maîtresse.

Nasser Al-Khelaïfi avait (encore)
rendez-vous avec la justice le 13 mai dernier. Cette fois en
qualité de victime. Le président du PSG a été entendu par les juges
d’instruction Serge Tournaire et Vincent Lemonier dans le cadre de
l’enquête sur les soupçons de « barbouzeries » autour du
club de la capitale, selon Blast et Le Monde. De sales
affaires » avec « beaucoup de mensonges, des
cachotteries, des subterfuges », selon le dirigeant
qatari.

Nasser Al-Khelaïfin a notamment été
interrogé sur le chantage dont il a été victime avec en toile de
fond l’enregistrement d’ébats intimes avec sa maîtresse. Son
domicile parisien aurait été piégé par son ancien majordome Hicham
Karmoussi. Et à cette sextape se sont ajoutées des photos prises
dans la rue et qui auraient été proposées au magazine Paris
Match.

50 000 euros éviter que les photos sortent

« Hicham m’a dit qu’on devait
acheter les photos pour 50.000 euros pour éviter qu’elles sortent
»,
a-t-il révélé, expliquant que son
ami Arnaud Lagardère, dont le groupe éponyme
détenait alors le magazine Paris Match, l’avait
appeler pour le prévenir de l’existence de ces clichés
compromettants.

Nasser Al-Khelaïfi a par ailleurs
expliqué aux juges d’instruction qu’il n’était pas souvent présent
dans les bureaux du PSG. « Je ne peux pas faire du management
quotidien »
, a ajouté celui qui est également président de
beIN Group, affirmant ne pas être au courant des faits reprochés à
certains de ces anciens collaborateurs mis en examen. Parmi eux,
Jean-Martial Ribes, ex-directeur de la communication du Paris
Saint-Germain, poursuivi pour corruption et trafic d’influence
actifs, complicité et recel de détournement de la finalité d’un
traitement de données à caractère personnel, usurpation de
l’identité d’un tiers en vue de troubler sa tranquillité ou porter
atteinte à son honneur et harcèlement moral en ligne.

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