Kylian Mbappé s’est fait épingler
sur les réseaux sociaux après son discours lors de sa présentation
officielle au Real Madrid.
« Je vais essayer de parler en espagnol. »
C’est avec ces mots que Kylian Mbappé a débuté son discours mardi
midi, lors de
sa présentation officielle en tant que nouveau joueur du Real
Madrid. Devant les quelque 80 000 spectateurs venus assister à
cette cérémonie, organisée au stade Santiago-Bernabeu, l’attaquant
français (25 ans) a trompé son monde, en laissant entendre qu’il
maîtrisait assez mal la langue de Cervantes alors qu’il la pratique
depuis très longtemps.
« J’ai commencé au collège. Je n’étais pas le meilleur
au collège mais en espagnol, oui j’étais assez fort parce que
j’avais le rêve de jouer au Real Madrid, a-t-il avoué ensuite
en conférence de presse. Si tu arrives dans un pays, c’est plus
facile pour s’intégrer. Mon espagnol est bon mais je peux
l’améliorer avec tout le vocabulaire au quotidien. Ce sont de
choses que j’ai encore à apprendre mais je pense que parler
espagnol tous les jours va m’aider à m’améliorer. »
« Mbappé va vivre toute sa vie pour les
caméras »
En plus des cours qu’il a pu suivre durant son parcours
scolaire, le capitaine des Bleus a été accompagné par un professeur
particulier depuis son arrivée au PSG en 2017, révèle RMC Sport. Et
à Paris, côtoyer de nombreux joueurs hispanophones l’a également
beaucoup aidé à progresser. Sur X (anciennement Twitter), beaucoup
d’observateurs ont donc souri en voyant le champion du monde 2018
affirmer vouloir « essayer de parler en
espagnol » face aux supporters madrilènes.
Qualifié d’« acteur », Kylian Mbappé a pris
cher. « Ce gars était destiné à jouer au foot »,
« ça fait dix ans qu’il répète son discours pour le Real après
ses entraînements au PSG », « Mbappé va vivre toute sa
vie pour les caméras », « c’est trop, arrêtez-le »,
« il est bilingue depuis la maternelle, Mbappé est vraiment
drôle », « il est en LV1 espagnol depuis 15 piges »,
« Mbappé, pas à nous hein »: telles sont
quelques-unes des réactions suite au discours du nouveau n°9
merengue.