vendredi, septembre 20, 2024

Top 5 du jour

Voir aussi

Bertrand Latour, le verdict tombe

Nouvelle recrue de Canal+,
Bertrand Latour a fait des débuts remarqués sur la chaîne cryptée.
Ce qui n’a pas échappé à Pierre Ménès.

C’est une nouvelle histoire qui débute pour Bertrand Latour.
Après avoir passé plusieurs années sur les plateaux de La Chaîne
L’Equipe,
le journaliste a débarqué ces derniers jours chez Canal+
et a
donc pu faire ses débuts dans les deux émissions phares du groupe,
le Canal Football Club dimanche dernier et le Canal
Champions Club
mercredi soir.

L’occasion pour les téléspectateurs de (re)découvrir le ton
franc et direct du consultant, vu par certains comme le successeur
de Pierre Ménès dans le rôle du sniper. Un Pierre Ménès qui, sur sa
chaîne YouTube, s’est justement exprimé sur les premiers pas de
l’ancien chroniqueur de RTL sur la chaîne cryptée. Des débuts qu’il
juge plutôt positifs.

Bertrand Latour validé par Pierre Ménès

« Je ne regarde pas le CFC pour des raisons que vous
comprendrez aisément »
, a-t-il d’abord indiqué, faisant
ainsi référence à son départ houleux de Canal+. J’ai juste vu
l’intervention de Bertrand sur le PSG, que j’ai trouvé absolument
excellente. »
Et Pierre Ménès d’encenser Bertrand Latour,
glissant au passage un petit tacle à ses anciens collègues.

« De toute façon, c’est un jeune qui a énormément de
qualité, qui a un vrai franc-parler et qui a des opinions, ce qui
déjà en soi lui fait un grand avantage par rapport à beaucoup de
monde y compris sur le plateau »
, a-t-il lâché. Hervé
Mathoux, l’animateur du programme, sa consultante vedette Laure
Boulleau et toute la bande du Canal Football Club
appréciera.

« Beaucoup de gens me demandaient si c’était le Pierre
Ménès de la nouvelle génération
, a-t-il ajouté. Si le CFC
me cherchait un successeur, ça veut dire que quelque part, je
manquais. Je prends ça pour un compliment déguisé. »

Avant de conclure: « Je ne souhaite que du bonheur à
Bertrand et à l’émission. J’ai passé l’âge de la rancœur et de la
rancune. »

On en parle